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Paroles et exemples des Anciens. Recueil ascétique de Paul Evergetinos. Tome 3 Agrandir l'image

Paroles et exemples des Anciens. Recueil ascétique de Paul Evergetinos. Tome 3

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Recueil des paroles inspirées et des enseignements des pères saints et théophores rassemblés à partir de tous leurs écrits inspirés, disposés de façon simple et profitable par le saint moine Paul surnommé Evergetinos fondateur du monastère de la Plus que sainte Mère de Dieu bienfaitrice.

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28,00 €

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Auteur Paul Evergetinos

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Table des propositions du tome 3

PROPOSITION 1 : Qu'il ne faut pas condamner d'après des soupçons ni, de façon générale, y ajouter foi

PROPOSITION 2 : Qu'il ne convient ni de condamner le pécheur public, ni de mépriser qui que ce soit, mais d'être attentif à soi-même sans s'ingérer dans les affaires d'autrui. Et qu'il est impossible à l'homme conscient de ses propres vices de condamner le prochain

PROPOSITION 3 : Que personne ne doit être cause de scandale en transgressant un commandement. Et que signifie le mot "scandale". Qu'il ne faut pas se scandaliser, mais soigner ceux qui le sont

PROPOSITION 4 : Que le chrétien doit faire toute pensée captive pour le Christ. En effet, les hommes spirituels sont conduits à des pensées bonnes même à partir de circonstances mondaines ou même vulgaires

PROPOSITION 5 : De la ruse et de la méchanceté, de la simplicité et de l'innocence. Leur origine, le tort ou l'avantage qu'elles procurent. Et aussi de l'envie

PROPOSITION 6 : Que pèchent très gravement ceux qui méprisent et raillent les personnes sans façons, lorsqu'elles s'humilient

PROPOSITION 7 : Que le fidèle doit agir avec une conscience noble et non pas avilie. En effet, Dieu juge l' œuvre de chacun non pas selon l' apparence, mais selon l'intention de celui qui l'a entreprise

PROPOSITION 8 : Que la conscience donnée par Dieu est pour nous un grand bien. Et qu'elle est d'un grand secours pour celui qui lui obéit

PROPOSITION 9 : Qu'il faut toujours être vigilant et se mettre soi-même en sûreté de toutes parts, puisque l'Ennemi attaque de toutes parts et par tous les moyens

PROPOSITION 10 : Qu'il faut s'examiner soi-même et redresser les déviations aussi bien qu'accroître les vertus

PROPOSITION 11 : Que, pour le fidèle, la transgression, même d'un seul commandement, n'est pas sans danger, puisqu'il a reçu la puissance de les pratiquer tous et que, de tous, il lui sera demandé compte. Et qu'une petite malice cause les plus grands dommages

PROPOSITION 12 : Que seront redressées par de sévères châtiments les fautes des moines et des laïcs pieux qui ont reçu la divine connaissance, même si elles sont légères

PROPOSITION 13 : Qu'il faut se dresser courageusement contre l'acédie et contre la tristesse qu'inspirent les démons. Et de la patience

PROPOSITION 14 : Que le lutteur spirituel, malade en son corps, ne doit en rien se laisser aller à des consolations, ni mettre fin à l'ascèse, ni attendre la santé de traitements médicaux mais de Dieu, de qui procèdent par économie même les maladies

PROPOSITION 15 : Comment et quand faut-il user de traitements médicaux. Et de quelles sortes. Qu'il ne faut pas, à cause de traitements pour le corps, que le moine s'absente du monastère mais, même s'il est malade, qu'il y persévère, protégé par les soins des frères

PROPOSITION 16: Qu'il ne convient pas que le moine se baigne sans nécessité, ni qu'il se mette complètement nu

PROPOSITION 17: Qu'il n'y arien de caché pour Dieu. Mais que tout ce qui arrive, et les morts soudaines elles-mêmes, est défini par la prescience de Dieu

PROPOSITION 18: De la patience dans les maladies. De l'avantage qu'elles nous procurent. Et que Dieu corrige par économie les hommes vertueux pour les conduire à la parfaite purification

PROPOSITION 19 : Que souvent les justes sont livrés à une mort violente pour leur avantage

PROPOSITION 20 : Qu'il ne convient pas de se laisser troubler lorsque des justes sont victimes d'un événement fâcheux

PROPOSITION 21 : Que si le fidèle, pour son profit spirituel, est privé même du nécessaire, il ne doit pas aussitôt en concevoir de l'inquiétude, mais rendre grâces au Seigneur et patienter, espérant, sans douter, que le Dieu bon veillera sur lui de toutes façons. Et qu'il est honteux pour l'ascète qui est un serviteur de Dieu de s'adresser aux gens du monde et de leur demander ce dont il a besoin, quand bien même il serait accablé par le manque

PROPOSITION 22 : Quel est celui qui use de façon déraisonnable de la foi dans le Christ

PROPOSITION 23 : Qu'il ne faut pas transgresser un commandement, même tout simple, ni à cause de quelque nécessité corporelle, même pressante, ni à cause d'une crainte toute humaine

PROPOSITION 24 : Que le fidèle, s'il lui arrivait un jour d'être en proie au trouble, ne doit pas se laisser impressionner par les événements de l'extérieur, mais garder les yeux fixés sur Dieu et faire ce qui lui est agréable

PROPOSITION 25 : Qu'il faut que celui qui cherche à plaire à Dieu tienne pour rien le mépris ou l 'honneur conféré par les hommes

PROPOSITION 26 : Qu'il faut rechercher la vertu dans le secret sans vouloir paraître et sans jactance. De la vaine gloire et du désir de plaire aux hommes. D'où naît la vaine gloire, quelles sont ses œuvres et comment la faire disparaître

PROPOSITION 27 : Qu'il ne faut pas rechercher l'amitié des grands selon le monde

PROPOSITION 28 : Qu'il ne faut pas, pour se complaire en soi-même, en faire davantage que les autres frères vivant avec nous dans le monastère

PROPOSITION 29 : Que seul l'orgueil peut perdre le chrétien et que les hommes qui s'enflent d'orgueil au motif de leurs traits de vertu, déchoient abandonnés qu'ils sont par la grâce

PROPOSITION 30 : D'où naît le blasphème et comment on en guérit

PROPOSITION 31 : Que le discernement est la plus haute parmi les vertus et qu'il faut que le fidèle accomplisse sous sa direction ce qu'il entreprend. Et que tout ce qui se fait sans discernement et au hasard, quand bien même cela serait bon, n'est d'aucune utilité et parfois même fait du tort

PROPOSITION 32 : Que, sans le secours d'En-Haut, le lutteur spirituel ne peut accomplir ni la séparation du mal, ni l'appropriation de la vertu. Et que l'adoption filiale ne se fais pas en raison des œuvres mais provient d'une grâce

PROPOSITION 33 : Quelle est la cause des tentations, quel profit on en retire et quelle est leur diversité

PROPOSITION 34 : Comment doit-on tenir ferme contre les tentations. Et qu'il ne faut pas s'y jeter soi-même, mais qu'il convient, quand on y est plongé, soit de fuir soit de les supporter

PROPOSITION 35 : Qu'il ne faut pas désirer ardemment l'activité de thaumaturge mais s'y refuser par humilité. Et qu'il ne faut pas non plus convoiter ni demander les autres charismes. Et si, cependant, on en est jugé digne, qu'il ne faut pas s'élever en pensée mais se garder par l'humilité. Et que ceux dont la conduite montre qu'ils sont unis à Dieu ne sont en rien inférieurs à ceux qui produisent des signes extraordinaires. Et que tous les autres charismes sont plus élevés que la thaumaturgie : c'est à eux plutôt que l'on reconnaît les spirituels

PROPOSITION 36 : Que la charité est la plus haute de toutes les vertus. Et que celui qui aime selon Dieu préfère en toutes choses le profit et le repos du prochain, plutôt que le sien propre

PROPOSITION 37 : Qu'il faut, en faveur du prochain, donner jusqu'à sa vie

PROPOSITION 38 : Que celui qui est animé de charité dans le Seigneur et d'humilité s'emploie à ne pas attrister le prochain mais à lui rendre service de toutes manières et à gérer tous ses intérêts comme les siens propres

PROPOSITION 39 : Que celui qui aime selon Dieu s'applique à faire du bien à son prochain, même si celui-ci l'ignore

PROPOSITION 40 : Qu'il faut que le fidèle, même lorsqu'il achète, vend ou fait quelque autre chose semblable, porte son attention à Dieu et ne consente pas à ce qui serait une mauvaise affaire pour son prochain, quand bien même celui-ci déclarerait ne pas être lésé. Et que l'on doit conserver dans l'exercice de la charité, et surtout les jeunes, une attitude d'humble réserve et se garder comme d'un fléau des liaisons amicales à l'intérieur du monastère

PROPOSITION 41 : De ce qu'il convient de faire pour les visiteurs. Comment les aborder et s'entretenir avec eux

PROPOSITION 42 : Que, lorsque des personnes vivant selon Dieu venaient les visiter, beaucoup parmi les Pères relâchaient quelque peu leur ascèse pour que leurs hôtes se reposent et ils n'en subissaient aucun dommage à cause de leur impassibilité. Que, cependant, certains d'entre eux se châtiaient ensuite à cause de ce bref relâchement. Et que celui qui conserve entière son ascèse au cours des visites et de brèves rencontres ou qui la relâche à peine, est loué par les hommes de bon jugement. Et qu'il ne faut pas se laisser persuader par ceux qui mènent une vie au-delà de la mesure d'aller les voir

PROPOSITION 43 : Qu'il ne faut pas accorder sans discernement à ceux qui se présentent au monastère d'habiter ou de converser avec les frères, quand bien même ce serait des moines. Et qu'il est nécessaire que quelqu'un veille sur les frères dans leur rapport avec les visiteurs

PROPOSITION 44 : Qu'il ne convient pas de manger avec n'importe qui. Et qu'il faut éloigner, après une première et une deuxième monition, ceux qui interrogent mais ne mettent pas en pratique

PROPOSITION 45 : Pour ceux qui partent en visite. Comment convient-il qu'ils se conduisent à l'extérieur. Comment faut-il voyager seul, ou faire route en compagnie de frères

PROPOSITION 46 : Qu'il faut recevoir ceux qui viennent à nous pour être secourus et ne pas les faire partir les mains vides, mais les accueillir favorablement comme des envoyés de Dieu et leur donner une part de nos biens. Et si l'on abuse, qu'il faut s'y résigner sans se mettre en colère, à l'imitation de Dieu. Et que Dieu, souvent, donne plus largement en retour à ceux qui font l'aumône. Et comment et par qui faut-il que le partage soit effectué dans le monastère

PROPOSITION 47 : Qu'il ne faut pas que le moine possède des biens matériels sous prétexte d'aumônes, ni qu'il reçoive des dons. Et quelle est pour un moine l'aumône convenable

PROPOSITION 48 : Que, souvent, ceux qui sont dans la pauvreté et font l'aumône selon leur pouvoir, prospèrent ensuite et, vaincus par l'avarice, perdent même la miséricorde qu'ils avaient acquise

PROPOSITION 49 : Qu'il ne faut pas que le moine accepte les dons de n'importe qui sans discernement, ni qu'il reçoive au delà du nécessaire. Et que celui qui reçoit est tenu de prendre de la peine au profit de ceux qui donnent

PROPOSITION 50 : Qu'il faut se tenir éloigné ce qui est sans intérêt pour nous ou ne nous concerne pas, le considérant comme funeste

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